sich mit Berichten über sie zu beschäftigen 69 ). Balzac kannte diese Dinge von seinen Buchdruckerjahren her und hat sie in den „Illusions perdues“ wie folgt meisterhaft geschildert 70 ): „De 1816 ä 1827 ... la librairie n’avait pas d’autres moyens de publications que les articles in- seres ou dans les feuilletons ou dans le corps des journeaux . . . En 1821 les journeaux avaient donc droit de vie et de mort sur les conceptions de la pensee et sur les entreprises de la librairie. Une annonce de quelques lignes inseree aux Faits-Paris se payait horriblement eher. Les intrigues etaient si multipliees au sein des bureaux de redaction, et le soir sur le champ de bataille des imprimeries, ä l’heure oü la ,mise en pages‘ decidait de l’admission ou du rejet de tel ou tel article, que les fortes maisons de librairie avaient ä leur solde un homme de lettres pour rediger ces petits articles oü il fallait faire entrer beaucoup d’idees en peu de mots. Ces journalistes obscurs, payes seulement apres l’insertion, restaient souvent pendant la nuit aux imprimeries pour voir mettre sous presse, soit les grands articles obtenus, Dieu sait comme! soit ces quelques lignes qui prirent depuis le nom de ,reclames 4 . Aujourd’hui, les moeurs de la littera- ture et de la librairie ont si fort change, que beaucoup de gens traite- raient de fables les immenses efforts, les seductions, les lächetes, les intri gues que le necessite d’obtenir ces reclames inspirait aux libraires, aux au- teurs, aux martyrs de la gloire, ä tous ces forgats condamnes aux succes ä perpetuite. Diners, cajoleries, presents, tout etait mis en usage aupres des journalistes.“ Diese lobenden bezahlten Bücherbesprechungen erhielten also den Namen reclames, von ihm leitet sich das deutsche Fremdwort Reklame ab. Nach dem Dictionnaire de l’Academie von 1842 ist la reclame „petit article que l’on insere dans le corps d’un journal avec les nouvelles et les faits divers, et qui contient ordinairement l’eloge d’un livre, d’un objet d’art dont le titre se trouve aux annonces“. Mit den reclames hebt, soviel ich sehe, Reklame als soziologische Massenerscheinung an. Alles Frühere ist lediglich Vorläufer. Hier wird die Einflußnahme auf den präsumtiven Käufer zum System erhoben, und es ist charakteristisch, daß kurz nach der Zeit, in welcher neben die psychologisch indifferente Buchanzeige die reclame tritt, die Zeitung sich aus dem indifferenten Nachrichtenblatt zur Gesinnungszeitung entwickelt, die den Leser zu beeinflussen sucht. Noch 1825 „zeigt sich selten das Bestreben, auf das Urteil des Lesers einzu wirken“ 71 ). Und noch eine weitere Parallele. Vielleicht hat nichts der Reklame in der öffentlichen Meinung mehr geschadet als der Umstand, daß das Einflußnehmenwollen in jenen Anfängen nicht offen zutage trat, sondern verheimlicht wurde, und krumme Wege zu diesem Zwecke einge schlagen wurden 72 ). Als aber etwa zur gleichen Zeit die Regierungen mit der durch die Presse geleiteten öffentlichen Meinung zu rechnen hatten Redlich, Reklame 2 17