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Dictionnaire raisonné de l'Architecture Française du XIe au XVIe Siecle
- Autor
- Viollet-le-Duc, Eugène-Emmanuel
- Verleger
- Morel
- Erscheinungsort
- Paris
- Bandzählung
- 3
- Erscheinungsdatum
- 1868
- Umfang
- [2] Bl., 512 S., [1] Bl.
- Sprache
- Französisch
- Signatur
- 8 - 1978 - 0402
- Vorlage
- Hochschule für Bildende Künste Dresden
- Digitalisat
- Hochschule für Bildende Künste Dresden
- Digitalisat
- SLUB Dresden
- Lizenz-/Rechtehinweis
- Public Domain Mark 1.0
- URN
- urn:nbn:de:bsz:14-db-id4943937420
- PURL
- http://digital.slub-dresden.de/id494393742
- OAI-Identifier
- oai:de:slub-dresden:db:id-494393742
- SLUB-Katalog (PPN)
- 494393742
- Sammlungen
- LDP: Historischer Bestand der Bibliothek der HfBK Dresden
- Projekt: Historischer Bestand der Bibliothek der HfBK Dresden
- Strukturtyp
- Band
- Parlamentsperiode
- -
- Wahlperiode
- -
- Titel
- Comble
- Digitalisat
- SLUB Dresden
- Strukturtyp
- Kapitel
- Parlamentsperiode
- -
- Wahlperiode
- -
- Titel
- Conduite
- Digitalisat
- SLUB Dresden
- Strukturtyp
- Kapitel
- Parlamentsperiode
- -
- Wahlperiode
- -
Inhaltsverzeichnis
- Mehrbändiges WerkDictionnaire raisonné de l'Architecture Française du XIe au XVIe ...
- BandBand 3 -
- EinbandEinband -
- TitelblattTitelblatt -
- KapitelCharnier 1
- KapitelCharpente 1
- KapitelChateau 58
- KapitelChatelet 191
- KapitelChemin De Ronde 193
- KapitelCheminée 194
- KapitelChéneau 217
- KapitelChevet 226
- KapitelChiffre 226
- KapitelChrist (Jésus-) 237
- KapitelCimetière 247
- KapitelCirconvallation Et Contrevallation (Lignes De) 249
- KapitelCiterne 249
- KapitelClaveau 250
- KapitelClavette 255
- KapitelClef 256
- KapitelCloche 280
- KapitelClocher 286
- KapitelCloître 408
- KapitelClotêt 459
- KapitelCloture 459
- KapitelClou 470
- KapitelCollatéral 476
- KapitelCollége 476
- KapitelColombier 482
- KapitelColonne 491
- KapitelColonnette 496
- KapitelComble 501
- KapitelConduite 502
- KapitelCongé 509
- KapitelConsole 512
- InhaltsverzeichnisInhaltsverzeichnis -
- EinbandEinband -
- BandBand 3 -
- Links
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[ CONDUITE ] — 502 — CONDUITE, s. f. Tuyau de métal, de terre cuite ou de pierre, servant à conduire les eaux, soit sur un plan horizontal, soit verticalement, du som met d’un édifice à sa base. Les Romains disposaient souvent des conduites verticales dans leurs grands monuments pour se débarrasser des eaux pluviales à travers les constructions. Les amphithéâtres et les théâtres particulièrement, qui présentaient une surface considérable de gradins exposés directement à la pluie, possédaient de distance en distance des égouts verticaux simple ment perforés à travers la maçonnerie et qui amenaient les eaux sur le sol. Dans les édifices d’une construction plus simple, les temples, les basi liques et les habitations particulières, les eaux pluviales tombaient des toits sur le sol librement, soit à l’extrémité de la couverture, soit en pas sant à travers de petites gargouilles percées dans des chéneaux de pierre ou de terre cuite. Ce moyen si naturel fut employé par les architectes romans, qui ne construisirent guère que des édifices d’une grande simpli cité de plan et couverts par des combles à deux égouts. Cependant il était certaines circonstances où l’on sentait le besoin de recueillir les eaux de pluie, et par conséquent de les diriger. Dans les cloîtres des abbayes, dans les cours des châteaux, bâtis souvent sur des lieux élevés, les sources manquaient, et l’on ne pouvait se procurer des approvisionnements d’eau qu’à la condition de creuser des citernes dans lesquelles on conduisait les eaux des combles, en évitant de les faire passer sur le sol, afin de les avoir aussi pures que possible. Alors, établissant des chéneaux de pierre ou de bois à la chute des combles, les constructeurs élevaient, de distance en distance, des piles creuses munies à leur sommet d’une cuvette qui rece vait les eaux amenées par les pentes de ces chéneaux. Ces piles étaient presque toujours isolées, ne participaient pas à la construction, et l’on évitait ainsi les infiltrations lentes, mais très-funestes, de l’humidité dans les bâtisses. Nous avons encore vu, le long du mur du collatéral sud de la nef de l’église abbatiale de Vézelay, des conduites isolées destinées à diriger les eaux pluviales tombant sur les combles dans la citerne creusée au centre du cloître. Ces conduites n’appartenaient pas à la construction primitive, mais à l’époque où le cloître fut construit, c’est-à-dire à la fin du xn° siècle. Elles étaient bâties en assises de pierre carrées, percées au centre d’un trou cylindrique, avec entailles circulaires dans les lits pour recevoir le ciment. Voici quelle était (1) la forme extérieure de ces conduites : en A, on voit une des pierres avec l’entaille circulaire de son lit. Nous avons sou vent vu, dans des châteaux des xn° et xm 0 siècles, des conduites carrées de pierre ménagées dans l’épaisseur des constructions (conduites qu’il ne faut pas confondre avec les porte-voix), et qui étaient destinées à envoyer dans des citernes les eaux pluviales tombant sur les combles. Lorsqu’au xiii° siècle la construction des églises dut présenter des combinaisons com pliquées, des surfaces très-considérables de combles recevant les eaux pluviales, les architectes songèrent tout d’abord à se débarrasser des eaux
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