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Dictionnaire raisonné de l'Architecture Française du XIe au XVIe Siecle
- Autor
- Viollet-le-Duc, Eugène-Emmanuel
- Verleger
- Morel
- Erscheinungsort
- Paris
- Bandzählung
- 4
- Erscheinungsdatum
- 1868
- Umfang
- [2] Bl., 509 S., [1] Bl.
- Sprache
- Französisch
- Signatur
- 8 - 1978 - 0403
- Vorlage
- Hochschule für Bildende Künste Dresden
- Digitalisat
- Hochschule für Bildende Künste Dresden
- Digitalisat
- SLUB Dresden
- Lizenz-/Rechtehinweis
- Public Domain Mark 1.0
- URN
- urn:nbn:de:bsz:14-db-id4943938820
- PURL
- http://digital.slub-dresden.de/id494393882
- OAI-Identifier
- oai:de:slub-dresden:db:id-494393882
- SLUB-Katalog (PPN)
- 494393882
- Sammlungen
- LDP: Historischer Bestand der Bibliothek der HfBK Dresden
- Projekt: Historischer Bestand der Bibliothek der HfBK Dresden
- Strukturtyp
- Band
- Parlamentsperiode
- -
- Wahlperiode
- -
- Titel
- Couronnement
- Digitalisat
- SLUB Dresden
- Strukturtyp
- Kapitel
- Parlamentsperiode
- -
- Wahlperiode
- -
- Titel
- Courtille
- Digitalisat
- SLUB Dresden
- Strukturtyp
- Kapitel
- Parlamentsperiode
- -
- Wahlperiode
- -
- Titel
- Courtine
- Digitalisat
- SLUB Dresden
- Strukturtyp
- Kapitel
- Parlamentsperiode
- -
- Wahlperiode
- -
Inhaltsverzeichnis
- Mehrbändiges WerkDictionnaire raisonné de l'Architecture Française du XIe au XVIe ...
- BandBand 4 -
- EinbandEinband -
- TitelblattTitelblatt -
- KapitelConstruction 1
- KapitelContre-Courbe 279
- KapitelContre-Fiche 283
- KapitelContre-Fort 284
- KapitelCoq 305
- KapitelCorbeau 307
- KapitelCorbeille 319
- KapitelCordon 319
- KapitelCorniche 319
- KapitelCorporation 345
- KapitelCoupe De Pierres 347
- KapitelCoupole 347
- KapitelCouronnement 367
- KapitelCourtille 368
- KapitelCourtine 368
- KapitelCouverture 369
- KapitelCouvre-Joint 369
- KapitelCoyau 369
- KapitelCrampon 370
- KapitelCréation 370
- KapitelCrédence 372
- KapitelCréneau 374
- KapitelCrête 392
- KapitelCrochet 400
- KapitelCroix 418
- KapitelCrosse 444
- KapitelCrossette 444
- KapitelCroupe 444
- KapitelCrucifix 444
- KapitelCrypte 447
- KapitelCuisine 461
- KapitelCul De Basse-Fosse 485
- KapitelCul-De-Four 486
- KapitelCul-De-Lampe 486
- KapitelCustode 508
- KapitelCyborium 508
- InhaltsverzeichnisInhaltsverzeichnis -
- EinbandEinband -
- BandBand 4 -
- Links
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[ COURTINE ] — 368 — Dans ces diverses représentations, la Vierge est assise à la droite du Christ et presque toujours sur le même siège. Elle joint les mains et incline légèrement la tête; le Christ pose lui-même la couronne sur la tête de sa mère, ou la bénit pendant qu’un ange, sortant d’une nuée, apporte cette couronne. Deux anges, debout ou à genoux, tenant des flambeaux, assistent à la scène divine. A la porte Rouge de Notre-Dame de Paris, c’est un roi et une reine qui sont agenouillés des deux côtés des personnages, probablement saint Louis et la reine sa femme. Nous avons l’occasion de retracer ces sculptures au mot Statuaire. COURTILLE, s. f. Vieux mot signifiant un jardin. (Voy. Sauvai, Anti quités de Paris, t. I er , p. 67.) COURTINE, s. f. Muraille de défense portant crénelage et chemins de ronde, aléoirs, aléours, et réunissant deux tours. « Alez aus murs les aléoirs garnir *. » Les courtines des fortifications de l’époque romane sont épaisses, pleines, composées de blocages avec revêtement de pierre, ou plus fré quemment de petit moellon smillé ; leurs chemins de ronde sont larges; quelquefois même ces courtines étaient terrassées, et leur relief, compris le crénelage, ne dépasse guère six mètres au-dessus du sol extérieur ou du fond du fossé. Dès le xi e siècle, les courtines étaient munies de hourds de bois à leur sommet. Auxin e siècle, on augmenta le relief des courtines, et nous les voyons atteindre une hauteur de dix à douze mètres dans des places très-fortes. Alors les perçait-on parfois d’archères à leur partie inférieure, pour voir ce qui se passait au fond du fossé et pour envoyer des carreaux d’arbalète sur les assaillants. Les moyens de sape s’étant très-perfeclionnés pendant le xm e siècle, on renonça géné ralement aux archères percées à la base des courtines, car leurs longues fentes indiquaient aux assaillants les points faibles de la muraille. Au xiv e siècle, les courtines redeviennent pleinesà la base, et toute la défense se porte aux sommets, lesquels, à cette époque, se munissent de mâchi coulis de pierre avec parapets crénelés couverts ou découverts. Lorsque l’artillerie à feu commence à jouer un rôle important dans l’attaque des places, on perce de nouveau des meurtrières ou des embrasures à la base des courtines pour battt-e le fond du fossé. Puis, vers la fin du xv e siècle, on terrasse les courtines intérieurement, autant pour résisterauxbatteries de brèche que pour placer de l’artillerie au niveau des chemins deronde. Au xvi e siècle, on dresse souvent, devant les courtines et au niveau de la 1 Le Roman de Garin le Loherain, t. 1, p. 169, édit. Techener, 1833. Du Cange explique ainsi le mot aléoirs, le chemin de ronde qui sert de défense supérieure à la courtine : « Cerla pars archeariarum, seu feneslricularum in urbium et castrorum « mûris, per quas sagittarii sagittas in obsidentes eniittebant. »
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