Essai Sur La Géographie Des Plantes, Accompagné D'Un Tableau Physique Des Régions Équinoxiales Voyage de Humboldt et Bonpland
Titel
Essai Sur La Géographie Des Plantes, Accompagné D'Un Tableau Physique Des Régions Équinoxiales
Untertitel
Fondé sur des mesures exécutées, depuis le dixième degré de latitude boréale jusqu'au dixième degré de latitude australe, pendant les années 1799, 1800, 1801, 1802 et 1803
Autor
Humboldt, Alexander von
Verleger
Cotta
Schoell
Erscheinungsort
Paris
Tübingue
Bandzählung
Pt. 1 [vielm.5], Physique générale et relation h ; Pt. 1, Vol. 1
En parlant dans cet ouvrage de quelques mesures faites par des géomètres espagnols, on s est servi d’une réduction de la vare de Castille en mètre et en toise, qui n’est pas assez rigoureuse. La vare est à la toise :: o,51^074 : 1,196307, et au lieu de réduire par 2, 3, il faut supposer une toise = 2,3316 vares. Don Jorge Juan n’admettoit que 2,32. Mais consultez l’excellent ouvrage de M. Gabriel Ciscar sobra los nuevos pesos y medidas décimales, 1800. Les sept mille quatre cent quatre-vingt-seize vares, que les belles cartes du Deposito bydrografico de Madrid donnent au Chimborazo, ne font par conséquent que trois mille deux cent dix-sept toises, ce qui est le même nombre qu’a publié Bouguer dans la Figure de la terre. La montagne de S. Elie a six mille cinq cent sept vares, ou deux mille sept cent quatre-vingt-douze toises (544i mètres). Celle du Beau-Temps a cinq mille trois cent soixante-huit vares, ou deux mille trois cent quatre 20