d e Fiori LES BALLETS SUEDOIS ET LES JEUNES Nous voyons peu ä peu naitre en France une sorte de theätre qui n’est pas )e ballet proprement dit et qui ne trouve sa place ni ä 1 Opera, ni ä l’Opera Comique, ni sur aucune de nos scenes du Boulevard. Ce genre nouveau, plus conforme ä l’esprit moderne, et qui s’ebauche jusque dans le music-hall, reste encdre un monde inconnu, riche en decouvertes. L’entreprise de M. Rolf de Mare, le travail infatigable de Jean Börlin, viennent d’ouvrir toute grande une porte aux explorateurs. Gräce aux Ballets Suedois, les jeunes pourront mettre en oeuvre des recherches oü la feerie, la danse, l’acrobatie, la pantomime, le drame, la satire, l’orchestre, la parole se combinent, reapparaissent sous une forme inedite; ils realiseront sans o moyens de fortune» ce que les artistes officiels prennent pour des farces d’atelier et qui n’en est pas moins l’expression plastique de la poesie contemporaine. , S'ils remplissent leur programme, MM. de Mare et Jean Börlin rendront le plus grand service ä la France. Ils l’accoucheront. Ils corrigeront sa lenteur ä sortir des routines, ne rechercheront ni ne craindront le scandale, et nous montreront etonnes ä nous-memes dans un miroir aussi pur que la glace du Nord. Jean Cocteau DER VON GOTT GEWOLLTE CHINAHÄNDLER Er fuhr nach China. Indien war für ihn nichts, war schon zu abgeklappert. Zunächst kaufte er altchinesische Nachttöpfe und machte die epochemachende Ausstellung im Museum zu Lissabon. Die Zeitungen schrien vor Delikatesse. „Ein altes Volk, dessen Kultur die letzten unaussprechlichen Dinge bezaubert.“ Ein anderes: „Bisher hiess es in Schönheit sterben. Eine